Chaque année en décembre se déroule le WordCamp US (voir notre article sur l’édition 2016), l’évènement le plus attendu avec le WordCamp Europe.
En plus des conférences et du contributeur day, c’est aussi l’occasion d’assister au State of the Word (#SOTW) présenté par Matt Mullenweg qui annonce les changements majeurs sur WordPress.
Les 2000 participants à cette édition dont je fais parti ont pu ainsi découvrir en avant-première ce qui attend les utilisateurs de WordPress l’année prochaine et qui risque sérieusement d’ébranler les professionnels de WordPress.

Que vous ayez un blog ou un site d’entreprise, l’envoi de newsletters est l’un des moyens efficaces pour rester en contact avec vos visiteurs et convertir davantage.
Il existe aujourd’hui plusieurs plugins WordPress permettant de gérer vos newsletters donc je suis assez impatiente de partager avec vous aujourd’hui ce que permet de faire le nouveau plugin WordPress DeliPress.
Interface sublime, très bonne expérience utilisateur, nombreuses options, voici en détail toutes ses possibilités pour vos newsletters.

En juin 2017 se tient un des plus grands évènements internationaux autour de WordPress, le WordCamp Europe. Pour ceux qui l’ignorent, un WordCamp est un regroupement dédié à WordPress, de tout niveau, d’amateurs et de professionnels, d’utilisateurs occasionnels en passant par les agences, des éditeurs de thèmes ou d’extensions et des hébergeurs.

En cette fin d’année, deux événements WordPress ont eu lieu à Philadelphie aux États Unis : le Post Status Publish et le WordCamp US 2016. Avec une centaine de participants pour le premier et 2000 pour le second, ces deux événements ont rassemblé de nombreuses personnes parmi les plus influentes de la communauté internationale. Entre les conférences, les ateliers et les échanges dans les espaces networking, ces 3 jours furent riches en informations, conclus par le fameux State of the Word de Matt Mullenweg. J’ai eu le privilège de faire le voyage depuis Lyon pour y participer et ainsi échanger avec la communauté américaine.

Tout comme Automattic, la startup qui distribue WordPress, de nombreuses entreprises ont aujourd’hui leurs salariés qui travaillent exclusivement en remote, c’est à dire à distance. Beaucoup de startups comme Buffer, Baremetrics, Invision mais aussi des agences web comme 10up ont choisi ce nouveau modèle initié principalement outre Atlantique. Qu’ils soient 10, 50 ou 400, ils parviennent à travailler tous ensemble, quelque soit le lieu où ils sont, ou leurs créneaux horaires.

Si vous animez un blog, un magazine ou un site à fort trafic, vous vous êtes posé rapidement la question de la monétisation de votre activité, des rebonds de vos visiteurs, et donc de la mise en place de bannières publicitaires.

Lorsque nous avons lancé notre agence WordPress en 2009, nous étions peu nombreux à nous spécialiser sur WordPress. Ce CMS a effectivement été longtemps considéré comme uniquement un moteur de blog, et les agences préféraient opter soit pour un CMS maison (pratique pour garder les clients captifs) soit pour d’autres CMS Open Source comme Drupal, Typo3 ou Spip.
Presque 7 ans plus tard, WordPress représente à lui seul 25% des sites internet dans le monde (pour 2,1% Drupal source) et le nombre des agences spécialisées sur WordPress s’est rapidement multiplié.

Quand j’ai commencé il y a 4 ans à utiliser WordPress, je n’ai pas immédiatement pris conscience de l’aspect communautaire derrière le CMS. Le choix de cette solution technique pour notre agence était fondé sur de nombreux critères (voir article 10 arguments pour convaincre votre client d’utiliser WordPress), mais la grandeur de la communauté n’était pas au départ une des motivations. Je précise au départ, car maintenant, quelques années plus tard, je ne vois pas comment faire du WordPress au quotidien sans faire partie de sa communauté.

De nombreuses agences (dont la mienne) vendent à leurs clients des sites WordPress réalisés sur la base de thèmes existants. Généralement, il s’agit de thèmes premium achetés sur des places de marché telles que Theme Forest et la prestation va de la simple installation/configuration à une personnalisation avancée et aux développements spécifiques. Le risque de vendre une prestation basée sur un thème conçu par un autre est que ça revient aussi un peu à reprendre un site réalisé par un autre prestataire.

Une discussion récente avec un client m’a donné envie de revenir sur ce sujet passionnant du pourquoi paye-t-on pour WordPress, une solution gratuite. (voir article précédent).